On dit parfois que le journalisme est de la littérature expresse. N’y a-t-il pas d’ailleurs des journalistes qui publient des romans ? Le goût des mots existe autant chez les journalistes que les écrivains, les acrobaties sont un peu différentes, voilà tout.
Pour s’ouvrir à de nouveaux talents, de nouvelles visions du monde, le célèbre journal créé donc ce concours. 68 ans après sa création, les jeunes ont des difficultés à faire connaître leur point de vue, eux qui sont nés avec Internet, avec les écrans. Le monde dans lequel on évolue a considérablement changé au cours de ce siècle, et il existe probablement un décalage entre les articles des journaux d’aujourd’hui et ce que pensent les jeunes.
Du 6 Juin au 15 juillet, si vous êtes âgé entre 18 et 25 ans, inscrivez-vous pour peut-être faire partie des 68 jeunes sélectionnés pour une expérience grandeur nature dans l’équipe du journal de septembre 2012 à juin 2013.
Au programme pour les heureux élus : ateliers avec la rédaction du Monde, et publication de leur production dans le journal ou sur le site : texte, photo, vidéo, webdoc, BD, etc. Accompagnés par des rédacteurs du journal, ils proposeront leurs idées. Les meilleures seront publiées chaque jour dans le quotidien ou sur le site.
A l’issue de ces mois d’immersion, 3 des 68 participants seront choisis par la rédaction de Le Monde qui leur offrira un contrat de travail d’un an minimum.
Le règlement du concours est ici.
Alors tentés ?
à 12 h 17 min
Mais pourquoi j’ai 30 ans 🙁 ou plutôt pourquoi n’ont-ils pas organisé cela quand j’avais l’âge de postuler…. snif.
Dans tous les cas, super idée !
à 12 h 28 min
Oui… et puis il faut pouvoir se libérer toute une année sans salaire en cas de sélection…
C’est pour les étudiants çà, c’est dommage !
à 14 h 48 min
Arf ça me tente bien là ton article, j’ai pas tout à fait 25 ans mais je viens de commencer un nouveau job, donc pour se libérer…
Je vais quand même aller jeter un coup d’oeil par curiosité !
à 13 h 38 min
je trouve l’idée extra, mais j’ai bientôt 33 ans alors ce n’est plus pour moi…