Hier, comme tu as pleuré.
Un vent t’a chagriné,
Te couvrant de calomnies
De ses gros nuages gris.
Tu n’as pas fait semblant,
Tu te sentais vaillant.
Mais, voilà qu’une à une,
Tomba sur la terre brune,
De grosses gouttes charnues,
Pourtant bien retenues.
Le soleil, ton ami,
A tout de suite compris.
Ses rayons protecteurs
Ont chassé ces railleurs,
Les nuages pour d’autres cieux
Et le vent avec eux.
Un gentil arc-en-ciel
Te fit oublier ce fiel.
Aujourd’hui, tu es bleu,
D’un joli camaïeu.
à 9 h 57 min
La poésie… on en lit pas assez je trouve !! Reviendras-tu ici avec de nouvelles rimes ?
à 18 h 53 min
Bonjour Fleur de Menthe !
Merci pour ton message. Les rimes sont rares car les nouvelles ont pris une telle importance qu’elles accaparent tout mon imaginaire mais, peut-être qu’un jour…
Dans l’attente de lire tes créations, bien amicalement.